"Erreur",
Le Diable vient par l'inspiration.
On pense que c'est lui qui nous inspire et moi je dit non.
Il profite de cette prise "d'air", pour entrer en nous, car oui, cent jeux de mots, le "Malin", diable, est excellent musicien!
Et tandis qu'il nous pénètre et nous chauffe, en dedans, c'est bien de nos luxes, qu'il s'empare et se pare!
Tout en nous déshabillant, il nous rend vulnérables et attirants, pour le froid.
Hypers sensibles au moindre souffles qui se transforme en effrois, tempêtes et gouffres en soi.
"Par-don",
La douceur reviendra par l'expiration et ne retiendra, de ce diable, que le strict nécessaire au maintien d'une joie suffisante pour la continuité de nos tribulations terrestres…
En la Tempérance, le divin reviendra, et, Amen, avec lui, l'apaisement du feu inné et le retour, sur la peau, d'un vêtement protecteur, modeste et réconfortant.
Bien moins sensibles aux vents, mais le froid s'installe, pourtant, bien en dedans.
Là ou du feu d'hier, ne restera que des cendres, alors la fête s'achèvera, dans une odeur de suie iritante.
La consolation, elle, se cachera dans un mets réconfortant, telle une fève, offrande "matérielle" d'un diable bien nécessaire à la vie, finalement.
Bien autant que le bon dieu.
IGG
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